👉 Imaginerait-on aujourd’hui concevoir les outils de la sécurité du bâtiment après l’avoir construit ou rénové? Bien sûr que non.
Alors, pourquoi procède-t-on encore de cette façon lorsque il s’agit de la sûreté ?
On sait que la responsabilité juridique, y compris pénale (art L121-3 CP) du directeur d’un site peut être engagée en cas de négligence sécuritaire.
L’actualité nous rappelle régulièrement les risques induits par une intrusion. Le risque existera toujours, mais il est important que des experts travaillent pour les limiter, repérer les points de vulnérabilité des installations, revoir les procédures.
Nous avons été récemment consultés pour une mission de mise en sûreté d’un ERP alors que d’importants travaux de rénovation venaient d’être effectués.
Le coût de mise en sûreté a dû être ajouté, alors que l’intégrer dès sa conception aurait évité un surcoût.
👉 Il devient important que cette culture de la sûreté entre dans l’esprit de tous les acteurs du bâtiment, maitre d’ouvrage, AMO, architectes…
Proposer un projet à la fois esthétique et sécure ne peut que remporter toutes les adhésions, et si c’est économiquement plus intéressant…😉
Cette approche devrait permettre aux AMO, promoteurs et entreprises générales de se différencier lors des remises d’offres. En effet, c’est une excellente façon de valoriser son offre en intégrant la problématique de la sûreté.
Bien sûr, et c’est important de transmettre aux maîtres d’ouvrage cette realité